Et voilà le jour du retour. Tristesse. Le petit-déjeuner sera pris en commun avec une Alsacienne, en papotant de choses et d’autres. Pain bio, confiture maison, tisane de plantes, … De quoi bien attaquer la journée. Un peu de pommade à la cortisone sur la piqûre qui m’a réveillé cette nuit et qui m’empêche, ce matin, quasiment de plier le bras.
Je descends donc sur Moustiers-Sainte-Marie pour,...
... quelques kilomètres plus tard, entamer la route montant à Aiguines pour ensuite surplomber les gorges du Verdon. On comprend aisément pourquoi cette route s’appelle « la Corniche Sublime ». Beaucoup de touristes, de circulation,… mais la route ne leur permet pas de rouler vite donc c’est OK. Encore une fois, le temps splendide permet d’apprécier les paysages époustouflants.
Et déjà, j’arrive à Comps-sur-Artuby. Arrêt casse-croute. J’ai de plus en plus mal au bras mais il faut bien rentrer.
Col de Clavel, col de Valferrière, Pas de la Faye puis c’est Saint-Vallier-de-Thiey. Je tourne vers Cabris, histoire de prolonger un peu le voyage. Puis la dernière photo. Je suis revenu à Grasse, la tête pleine de ces images, de ces sons, de ces odeurs, de ces sensations, de ces rencontres qui font qu’une petite voix nous demande de repartir au plus vite.
Moins d’un mois plus tard, je repartais pour, cette fois-ci, gravir des cols dans les Alpes.